Mercedes CLK DTM cabriolet : Le sprint au soleil
Présenté en 2003 en à peine 80 exemplaires, ce cabriolet est dérivé du coupé (sorti lui en à peine 100 exemplaires). À sa sortie, cette exceptionnelle création faisait figure d’hypercar tant par ses performances que par son évidente rareté.

La mise au point de ce modèle n’a rien d’un simple « look » à la sauce DTM… car cette découvrable hyper sportive à droit à un traitement survitaminé !
Jugez plutôt : V8 de 5,4 litres compressé de plus de 580 chevaux, boite auto 5 rapports avec palettes au volant et paramètres de pilotage TRÈS sportif avec changements ultra rapide et un poids de … 1792 kilos.

À l’intérieur, tout est profusion de carbone, y compris les sièges avec leurs coques du même matériau. Le volant est en alcantara, et, les sièges en cuir/alcantara ultra-légers.

Côté performances : Bruit du moteur travaillé « DTM », 320 km/h et la 0 à 100 en 3,8 secondes. Ce cabriolet est capable de vous infliger des accélérations latérales de 1,35 G!

Ce cabriolet est équipé de freins à disques ventilés avec étriers à 4 et 6 pistons. La motorisation quand à elle offre des accélérations de fou avec un couple de 800 Nm à … 3500 tours !! : Pour vous donner une idée, le 0 à 200 km/h se fait sur un seul rapport de boite !

Pour la tenue de route, les amortisseurs offrent une suspension pilotée offrant une gestion du bitume à tous instants. En bas de la console centrale, des interrupteurs permettent de couper au besoins les assitances électroniques, mais là, il y a intérêt à avoir un sens aigu du pilotage !

Parmi les célébrités des circuits, plusieurs pilotes ont succombé à son caractère très sportif tel que Juan Pablo Montoya, Mikka Hakkinen, Kimi Raïkkonen et Jenson Button.
Vendue 250 000 euros à l’époque, elle se négocie aujourd’hui à des tarifs situés entre 600 000 et 800 000 euros.
